giovedì 2 agosto 2007

Chiesa incendiata di Sartrouville: il curato autocensura le sue campane per non provocare i musulmani.

fonte http://www.islamisation.fr/4-_dhimmitude/


08.05.2007

Eglise incendiée de Sartrouville : le curé auto-censure ses cloches pour ne pas « provoquer » les musulmans.

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C’est une première dans l’histoire de l’Eglise de France. Un évènement qui doit être considéré comme un cap, une ligne verte franchie vers un chemin qui pourrait conduire à une future condition de dhimmi des chrétiens en France, chez eux.

Mars 2005 : 6 cocktails Molotov sont lancés sur l’église Jean XIII, dans un quartier musulman de Sartrouville. Silence éhonté des grands médias, qui redoublent de précautions pour cacher un événement qui pourrait laisser à penser que la cohabitation islamo-chrétienne, ce n'est pas si simple.

Trois ans plus tard, mise en chantier de la reconstruction de l’église. Le père de Bucy, de son propre chef mais sans doute influencé par le Maire UMP Pierre Fond, décide de ne pas prévoir de cloches sur le clocher (sic) de l’église en voie d’achèvement. Raison invoquée par l’ecclésiastique : « Les chrétiens ne sont pas les seuls habitants du quartier », il faut se garder de ne pas « provoquer » (?) la communauté musulmane, majoritaire. Le père sait-il qu’il applique la loi islamique de sa propre initiative, la charte du calife Omar 1er (634-644), traité normatif de la « dhimmitude », prévoyant que les chrétiens ne sonnent pas les cloches si ce n’est « très discrètement » et à « l’intérieur » de celles-ci ? Autre traité fondamental pour les musulmans, les fameux « Statuts gouvernementaux » du jurisconsulte du 11ème siècle, Mawardi, prévoyant explicitement que les chrétiens en terre d’islam ne sonnent pas leurs cloches. Plus que docile, s’auto soumettant, prenant les devants alors qu’aucune association musulmane ne s’était risquée à formuler une telle exigence si incongrue en terre de France, le curé s’est fait prêtre jureur devant la constitution islamique. L’évêché est atone, on attend sans illusions la réaction de la Conférence épiscopale.

Ceux qui mettent en garde depuis 25 ans contre le processus de libanisation de la société française, sous les sarcasmes des biens pensant, je pense à Bernard Antony et aux membres de Chrétienté-Solidarité, ont désormais un énième fait à faire valoir à leurs détracteurs. Et non des moindres. N’est-ce pas Béchir Gemayel, fondateur des Forces Libanaises, qui avançait dans les raisons d’être du mouvement, le fait que, tout simplement « Nous voulons être toujours présents, pour que les cloches sonnent quand nous le voudrons, pour les joies ou pour les peines. Nous voulons pratiquer nos traditions et nos rites, notre foi et nos convictions à notre convenance. Nous devons pouvoir pratiquer notre christianisme dans cet Orient »

Nous devrions pouvoir pratiquer notre christianisme dans cet Occident.

Au Liban les chrétiens ne s’amputeraient pour rien au monde des tintements millénaires de leurs cloches, dorénavant bien plus symboliques qu’un simple rituel de convention. En France, malgré la position toujours majoritaire des chrétiens, certains confondent respect et soumission.

Joachim Véliocas.

(reproduction autorisée avec mention de la source)

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